Les humains ne ressemblent que de loin à ce qu'ils se figurent être et n'ont rien de commun avec ceux qu'ils désirent devenir.
(William Stein)
Les apophtegmes de l'Orée (contradictions péremptoires)
Les apophtegmes de l'Orée (contradictions péremptoires)
"Les humains", d'accord. Mais Untel et Bidule plus, non ?
RépondreSupprimerMax.
Au début, cette phrase, je me la suis prise comme une mouette croise un Boeing : en pleine face. Mais, je me suis ravisé.
RépondreSupprimerMax, me suis-je dis, tu n'es pas, loin de là, le centre des préoccupations du Marquis, et même si tu crains qu'un jour il ne découvre la supercherie de tout ton être "écrivant", de ton "Moi écriveur", pour parler comme les auteurs cher à la Duchesse (Duchesse, je vous aime !!!! :) il devait penser à lui.
"Les humains", c'est toi okay, mais c'est lui aussi. De toute façon, cela t'eut été adressé que se serait plutôt un compliment, vu cet abominable Mister Hyde auquel tu t'efforces de ressembler, cet affreux Mojo mal éduqué que tu essaie de faire prendre pour toi, toi, le si sensible docteur Jekyll.
En plus, ajoutais-je, il est en train de peaufiner son concerto déconcertant, sa sonate d'alarme, qui se passe en félicité dans un saoul-sol mineur ! Sans doute, ajoutais-je encore, pensait-il, en lisant cette citation de William Stein, à ton idole Jean-Sébastien et se sentait-il bien en deçà de ses supposées grandes espérances ?
Si c'est ce sentiment qui vous a poussé à citer ce monsieur Marquis, rassurez-vous. Pour moi, qui vous ai repéré bien avant Frédéric Beigbeder et Laurent Ruquier, vous valez bien tout ces auteurs géniaux auxquels vous vous référez sans cesse. Et même si je trouve que votre grand chagrin vous fait quelquefois vous prendre un tantinet au sérieux, ce n'est rien à coté de Frédéric S., et en cela Marquis, vous êtes sauvé ! ;-)
Mon amie Laurette, qui me manque beaucoup, aimait à me répéter, pour me consoler, mes propres mots : "Tu sais voir la beauté, Max", me disait-elle. C'est moi qui le lui avait soufflé et je pense que c'est une vérité.
Certes, je ne sais peut-être pas réagir de façon adéquate quand cela se produit, sans doute manque-je d'envergure et d'aplomb, de style et d'à propos, pour lui faire face comme il faudrait mais je sais, je le pense vraiment, la voir quand, si rarement, elle apparait.
Je crois que si je ne lis plus, ou si peu, c'est que vous me suffisez. C'est idiot, je le sais.
Votre Félicité en sous-sol sera aussi la nôtre et elle sera le livre de l'été, croyez-moi ! Même en solde, je l'achète moi, cette félicité-là, mille pertuis de mille pertuis !
Un bisous quand même,
Maxou.
Je suis affligé de la vulgarité dont je peux faire preuve quand je suis ivre.
SupprimerVous ne devriez pas diffuser ces horreurs Marquis.
Max.
Au contraire, nous les publierons toutes dorénavant. De cette façon, peut-être ...
Supprimer;-------)
Sacre Maxou. Je suisbtoujours émue et impressionnee de vos écrits. Cette amitié d ecriture est sublime.
RépondreSupprimerSurtout ne vous retenez pas.
La duchesse
Cher Marquis vous faites du Louis Jouvet qu and vous parlez de Moi. Bizarre elle est cette Duchesse. Vous avez dit bizarre.
Bizarre blizard sur ke Sael de l hyper canicules bon sortie de septembre cher Écrivain et philosophe
Bel été.
Désolée les caractères sont très petits je be vois toujours pas bien.
Belle félicite en sousvsoul
Merci Duchesse, il fait 34 degrés à l'ombre aujourd'hui, et mon esprit a disparu - bonheur total.
SupprimerJouvet-Simon : un tandem avec une "tension entre les contraires" qui m'a toujours émerveillé...
Meilleures pensées forestières depuis le sous-sol moussu.
Hajime