(...) J’ai effectivement proposé dans ce sens en 2012 l’instauration d’une « taxe Sismondi » du nom de Jean Charles Léonard de Sismondi (1773-1842), le philosophe socialiste suisse qui suggéra que le travailleur ou la travailleuse remplacé par la machine bénéficie à vie d’une rente perçue sur la richesse créée par celle-ci. Il y aurait là le moyen d’alimenter une caisse assurant à toutes et à tous la gratuité de l’indispensable, une alternative au revenu universel de base plus juste et beaucoup moins dispendieuse, étape nécessaire vers un monde sans argent.
(Paul Jorion - Avec l'aimable autorisation d'icelui)
J'étais bayeur aux corneilles, j'ai été remplacé par une station météorologique qui me reverse 10 % de son eau de pluie. (Le rêve.)
RépondreSupprimerPrendre le thé au bord de l'eau en écoutant les machines lentes qui baillent et bayent dans le lointain, voilà La Voie.
SupprimerTout ce qui bouge, on le taxe; ce qui bouge encore, on le réglemente; ce qui ne bouge plus, on le subventionne. Ronald Reagan révolutionnaire fin du XX° sicle.
RépondreSupprimerVoilà qui est bien dit : le sadhu multimillionnaire est l'avenir de l'amazone sur deux roues.
SupprimerRonald Reagan était un visionnaire. Donald Trump appliquera certainement ce programme houbiste avec enthousiasme.
On me souffle dans l'oreillette (entre deux orgasmes) que la Fusion est désormais à portée d'ongle, suite à l'entrée en rotation de Karl M. dans sa tombe; de quoi (s'enthousiasme-t-on dans les milieux informés) combler plusieurs fois le gouffre énergétique nécessaire à l'achèvement de la Singularité (et du reste).
RépondreSupprimerNous sommes impatient de connaître la suite de la même Histoire - se déployant en une myriades de fragments planétaires calcinés.
SupprimerOn dansera.