Méprisant depuis toujours les maîtres qui ont des mœurs d'esclaves comme
les esclaves impatients de se glisser dans la peau des maîtres, j'avoue
que les affrontements habituels entre les hommes et les femmes ne m'ont
guère préoccupée. Ma sympathie va plutôt à ceux qui désertent les rôles
que la société avait préparés pour eux. (Annie Le Brun)
Je ne l'ai jamais lue.
RépondreSupprimerMoins je lis mieux je me porte, vous le savez.
C'était une amie de Roland Jaccard, je crois l'avoir aperçue, à l'époque dans une de ses vidéos.
Elle avait un très joli visage.
Ces yeux mes aïeux !
Son discours est très juste et c'est bien plutôt ce genre de propos qui devraient être salués, tout en nuance et vérité, plutôt que les débordements hargneux des femelles anti-hommes.
Merci à vous et à Frédéric d'honorer joliment cette très belle flamme.
Max.
Une amazone...
SupprimerEt quel regard ! En effet...
Dans les années (fin) septante joli mot que l'on prononce par chez vous; je vivais alors avec une féministe enjouée (tendance "histoires d'elles" -https://dirfem.fr/histoires-delles/ -qui était souvent désolée voir atterrée par les réflexions et comportements d'autres féministes souvent profs et souvent lesbiennes misandres de la tendance "psy et po" avec une vision plutôt théorique des rapports hommes et Femmes bien au chaud dans leur milieu "bourgeois" contrairement à d'autres qui se confrontaient "un peu" plus aux réalités heu! sociales dirons-nous.
RépondreSupprimerMes respects au matines Cher Marquis
Les néo-féministes - je n'aime pas tellement ce mot, mais je n'en trouve pas d'autre à l'instant - sont aussi effroyables que les misogynes.
SupprimerEncore que : certains misogynes sont très drôles - quand ils se prennent au sérieux ou quand ils ne se prennent pas au sérieux.
La misogynie de certaines femmes est l'une des choses les plus exquises au monde.
Dès qu'un être humain se prend au sérieux, on devrait l'envoyer sur Mars avec Elon, ça nous ferait beaucoup de place pour danser et dormir aux matines - houba - cher jean-jacques.
Au ping-pong, il y a les frères Lebrun (Alexis & Félix), il y eut aussi par ex. le prés. de la Rép. Albert ; mais elle, c’est Le Brun, Annie Le Brun (en deux mots) — ceci pour rectifier notamment votre intitulé... l’onomastique est sensible, please
RépondreSupprimerC'est vous dire si je l'ai peu lue... Mais je l'appréciais d'autant plus.
SupprimerMerci, cher La mineur Lepiq.
Bien triste nouvelle que sa mort, en effet. Même si j'avoue avoir un peu de mal avec son style, elle restait une voix singulière, cultivant avec sagacité l'individualisme dans le plus beau sens du terme.
RépondreSupprimerS'agissant de la fin des meutes, et bien qu'elles ne soient guère du même bord, on peut rapprocher son propos de celui de Simone Weil sur la suppression des partis politiques:
«S’il n’y a pas de vérité, il est légitime de penser de telle ou telle manière en tant qu’on se trouve être en fait telle ou telle chose. Comme on a des cheveux noirs, bruns, roux ou blonds, parce qu’on est comme cela, on émet aussi telles et telles pensées. La pensée, comme les cheveux, est alors le produit d’un processus physique d’élimination.
Si on reconnaît qu’il y a une vérité, il n’est permis de penser que ce qui est vrai. On pense alors telle chose, non parce qu’on se trouve être en fait Français, ou catholique, ou socialiste, mais parce que la lumière irrésistible de l’évidence oblige à penser ainsi et non autrement.»
https://fr.wikisource.org/wiki/Note_sur_la_suppression_g%C3%A9n%C3%A9rale_des_partis_politiques_(S._Weil,_%C3%A9d._1950)
(Je fais moi-même systématiquement la faute, mais c'est Le Brun, en deux mots.)
Done.
Supprimer;---)
Les grimaces d'Halimi sont infectes. Rarement vu quelqu’un d'aussi puant.
RépondreSupprimerElle est surtout ridicule : "Les femmes ont envie..."
SupprimerRien n'est pire qu'un porte-parole, à part un porte-drapeau bien entendu.
Un porte-bouteilles, à la rigueur, aurait dit ma mère en empoignant le tire-bouchon.
Cette dernière phrase fut ponctuée d'un grand éclat de rire : le mien.
SupprimerJ'aime décidément votre mère !
Max.