dimanche 22 décembre 2024

   La série « Les Sataniques » de Félicien Rops et les photographies de Jan Saudek nous démontrent que ce qui est excessif est bien souvent stimulant. (Rappelons à l'honnête homme scandalisé que celui-ci arrive à supporter le réel sans trop de mal, alors que ce réel est d’une horreur incomparable - car bien réelle, précisément.)

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1 commentaire:

  1. Personne ne croit vraiment aux bluettes sentimentales et aux romans à l'eau de rose, par contre la pornographie, provoquant à la fois attirance et rejet, dégoût et envie, effroi et désir, tient une vraie place dans toute vie d'homme - et de femme. Du moins, il me semble.
    Je suis personnellement trop paresseux, et surement trop peu imaginatif, pour m'adonner trop souvent à certaines acrobaties ou pour me livrer à ces cascades sentimentales que demande la passion amoureuse.
    Les écrits du derrière ne m'ont jamais attirés. Je n'ai jamais fini un livre du divin Marquis. La pornographie m'ennuie vite. Elle termine, chez moi, le plus souvent, et assez rapidement, sa course, "dans un p'tit mouchoir".
    Max.

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