vendredi 4 avril 2025

    Qui pense avoir réalisé ses rêves n’a jamais vraiment rêvé.

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7 commentaires:

  1. Il m'est arrivé de rêver que je rêvais : qu'avez-vous répondre à ça cher Marquis ? (Phylactère en bulle : je l'aurai, je l'aurai, ce marquis de l'Orée !)

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  2. Mes rêves so t.mes ibdi acteurs.
    Qyand je descendais de ja montagne avec mon piolet comme va-t-on de sky. Au milieu des peau de pintades tulipes sauvages kes coucou jaunes primevères les jonquilles.
    Le soir en action d amour avec Monsieur je revivais en rêve ka scène devenue rece monsieur ravi prétentieux. Non lui disais hé tu ne pourras pas surpasser les descentes en piolet sur les brevets en gâté mo tagnes au milieu des ses bijoux. Il dormait. J etais dedans jusqu a l oaurore et sur ke chemin de l hôpital ou je travaillais je chantais.
    Désolée Msarquus m es yeuxxsont concalescents. Je n ai pu corrigé. Avant je pouvais agrandir
    Je suisva la lisière de ja compréhension.
    Vous devenez très fort Marquis j en suis fière pour vous et votre travail qui grandi chaque jour.
    Le seul à pas me d'escouade mo. Âme
    Salutation cher ami du Marquis.
    Vous êtes bien éclairé ous aussi.
    La Duchesse des brevet.s fleuris

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    1. Pas brevet neveu la neige qui fo t oas oartout en lele temps en juin vers les sommet.

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  3. Qui pense avoir réalisé ses rêves est encore en train de rêver. (Amitiés mon cher Blaise)

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    1. Bel aphorisme de fin de partie, cher Paul-ami.

      La phrase ne nous aura pas sauvé, mais au moins aura-t-elle - de temps à autre - adouci notre fugace et chaotique passage sur la croûte des merveilles.

      Oreilles !

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  4. Je serai moins spirituel et concis que vos amis, comme à mon habitude.

    La faute à qui ? A André Comte-Sponville pardi ! Qui m'a longuement et patiemment appris, dans ma folle jeunesse à structurer mes raisonnements, à longuement expliciter, et plutôt que de rester vaporeux, fumeux et plaisant à développer mes commentaires, par soucis de vérité, autant qu'elle soit accessible, et de clarté - ça ce n'est pas gagné me concernant.

    Puis-je me permettre donc, mon Marquis adoré, le Number one parmi mes êtres de légendes, d'être une fois encore un peu relou ?

    Oui ?

    Les rêves, me disais-je en lisant votre aphorisme et celui de votre ami, ne sont décidément pas fait pour entrer dans le "réel", souvent prosaïque et sans charme. Il vaut mieux rêver de Syracuse que de s'y rendre, sous peine d'être gravement déçu, car toute sa magie réside dans l'imagination. Tout comme l'amour un peu, vous vous souvenez ? j'avais écrit un petit texte sur ce sujet.
    Mais il est possible, tout de même, dans cette drôle d'existence, de connaitre quelque "victoires". Toute intimes, personnelles, modestes mais réelles.

    Longtemps, par exemple, j'ai désiré que cette femme me regarde et m'aime. Et un beau jour, ça y est ! La voilà qui me sourit et veux bien me laisser occuper une place, minime je l'admets, dans sa vie. Mais enfin, même modeste, n'est-ce pas la plus rêvée des promotions ? Cela ne suffira pas bien sur car rien ne suffit jamais, vous le savez, mais quand même, ce jeune homme qui vit encore en nous et qui a tant souffert de sa solitude et de son isolement, d'une forme de rejet aussi, ce sourire-là, cette chaleur-là, même si elle arrive un peu tard dans sa vie, tout arrive toujours trop tard, il l'aura sacrément attendu. Avec larmes. "Follement, éperdument, douloureusement" comme disait Annie Girardot. Et même si nous ne sommes plus tout à fait lui, si ce n'est presque rien en apparence, quelque par au fond de nous, lui, au moins, est heureux et enfin réconcilié. Avec lui-même et avec le monde.

    :)

    Ecrit au fil de la plume avec quelques verres dans le nez - ne donc pas me tenir rigueur des éventuelles lourdeurs :-)

    Maxou

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