Dans "Moins d'un quart de seconde pour vivre" (Menu/Trondheim) l'homme pensif dit au rocher sur lequel il est assis et qui se moque de lui parce qu'il va mourir : "Oui, mais il y a l'érosion." Et le rocher moqueur de partir en burn-out.
Dans "Moins d'un quart de seconde pour vivre" (Menu/Trondheim) l'homme pensif dit au rocher sur lequel il est assis et qui se moque de lui parce qu'il va mourir : "Oui, mais il y a l'érosion." Et le rocher moqueur de partir en burn-out.
Non, car comme disait ce diable de Satan : Un résultat n’est jamais à quoi on s’attent ; Une histoire de la pluie et du beau temps, Mais l’important c’est que ce soit bien épatant.
Ce qui n'est pas faux n'est pas vrai non plus - c'est pourquoi le vertige et la folie guettent plus encore celui qui ne conclut pas que celui qui conclut, cher GJG.
Dans "Moins d'un quart de seconde pour vivre" (Menu/Trondheim) l'homme pensif dit au rocher sur lequel il est assis et qui se moque de lui parce qu'il va mourir : "Oui, mais il y a l'érosion." Et le rocher moqueur de partir en burn-out.
RépondreSupprimerExcellent.
SupprimerDans "Moins d'un quart de seconde pour vivre" (Menu/Trondheim) l'homme pensif dit au rocher sur lequel il est assis et qui se moque de lui parce qu'il va mourir : "Oui, mais il y a l'érosion." Et le rocher moqueur de partir en burn-out.
RépondreSupprimerMerci, cher Stéphane.
Supprimer(Désolé pour le doublon, j'avais oublié de signer ^^)
SupprimerNon, car comme disait ce diable de Satan :
RépondreSupprimerUn résultat n’est jamais à quoi on s’attent ;
Une histoire de la pluie et du beau temps,
Mais l’important c’est que ce soit bien épatant.
GJG, alexandrineur passant — et passable.
Ce qui n'est pas faux n'est pas vrai non plus - c'est pourquoi le vertige et la folie guettent plus encore celui qui ne conclut pas que celui qui conclut, cher GJG.
SupprimerQuoique.
C'est ma foi pourtant vrai : quoique.